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Page:Marcel Schwob - Œuvres complètes. Écrits de jeunesse.djvu/296

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SUNDARI, de même.
Avec calme.

Kumâra, nous mourons — ne crains rien. Au revoir !

LE FEU
Des rayons flamboyants s’étendent de ses bras allongés et vont frapper au cœur Kumâra et Sundâri dont l’âme s’échappe dans un baiser. La lumière rayonne et s’agrandit et tout le ciel se fond dans un flamboiement rouge.


Fin Du Prologue