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Page:Marguerite de Navarre - L’Heptaméron, éd. Lincy & Montaiglon, tome II.djvu/115

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XVIJe NOUVELLE

car il y a si peu que l’on m’a faict ung compte à la louange d’ung Gentil homme dont l’amour, la fermeté & la patience est si louable que je n’en doibs laisser perdre la mémoire :