son repos que son mary, veu qu’elle ne prenoit bien à cueur chose qu’il feist.
— Elle prenoit bien à cueur, » dist Parlamente, « ce qui povoyt nuyre à sa conscience & sa santé, mais aussi ne se vouloit poinct arrester à petite chose.
— Quant vous me parlez de la conscience, vous me faictes rire, » dist Simontault ; « c’est une chose dont je ne vouldrois jamais que une femme eust soucy.
— Il seroit bien employé, » dist Nomerfide, « que veus eussiez une telle femme que celle qui monstra bien, après la mort de son mary, d’aymer mieulx son argent que sa conscience.
— Je vous prie, » dist Saffredent, « dictes nous ceste Nouvelle, & vous donne ma voix.
— Je n’avois pas déliberé, » dist Nomerfide, « de racompter une si courte histoire, mais puisqu’elle vient à propos, je la diray :