ous avons annoncé que nous donnerions, dans le Cabinet du bibliophile,
une place importante aux poètes peu lus ou peu connus du XVIe siècle dont les productions nous paraîtraient dignes d’être conservées. Nous en continuons aujourd’hui la publication par les Marguerites de la Marguerite, une
des œuvres poétiques les plus curieuses de cette époque, et qui, jusqu’à présent, n’a pas été réimprimée : aussi avons-nous la confiance que notre édition sera favorablenent accueillie par les adeptes, chaque jour plus nombreux, qu’un goût éclairé réunit autour des monuments de la littérature française.
Il existe deux éditions des Marguerites la première de 1547, la seconde de 1554. C’est le texte de la première qu’on a reproduit ici, et l’on n’a eu