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pour vostre service.
C’est chose trop cognue que la vie des hommes ne se peut passer des faveurs de la fortune.
Sous la faveur de vostre sagesse, vous satisfaites à mes vieilles esperances.
Il ne s’en trouvera point un qui ait plus aymé que moy, qui ait reçeu moins de faveur de l’amour.
Prenez vostre faveur à mes vœux, et m’aydez à porter la pierre, pour bastir les fondemens de ma felicité.
Je ne puis avoir aucun moyen de recognoistre ce-