Page:Marguerites françaises.djvu/285

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des injures beaucoup qui ne nous touchent point, cestuy là en reçoit le moins, qui en ignore le plus.

La trop grande curiosité fait quelquesfois donner des interpretations injurieuses, à des paroles qui n’offencent point.

On se doit donner de garde des calomnies quoy que fausses : pour ce que la pluspart des hommes non capables de verité, suivent l’opinion.

Voyez vengeance.