Page:Marguerites françaises.djvu/462

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

loger tant d’obligations.

On dit que c’est perdre les anciens bien-faits, que de n’y en adjouster point de nouveaux, c’est paraventure ce qui fait que vous continuez à me favoriser.

Si les services que je vous ay faits on esté petits, la volonté que j’ay eue de recognoistre les biens et honneurs que j’ay reçeus de vous, est grande en toute extrémité.

Je ne puis mettre au silence vos bien faits, sans rendre la parole pour mon ingratitude.

Je ne puis autre chose, que