Page:Marguerites françaises.djvu/463

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vous en remercier du cœur et de l’esprit, et si ceste passion est commune, je vous asseureray toutesfois, que la pensee et l’affection dont elle procede, ne l’est point, mais vous est particulierement dediee.

Reparties.

Il ne m’a point d’obligation, ni moy point de merite, qui l’oblige, si je l’ay aimé, c’estoit mon devoir.

Je suis plus obligé de ces louanges à vostre courtoisie, qu’à la verité.