Page:Marguerites françaises.djvu/557

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Vœvx.

Esperez de mes vœux, tout ce que pouvez desirer, d’un qui vous cherist et affectionne de tout son cœur.

Le Ciel fut favorable à mes premiers vœux, mais il s’est monstré rigoureux à mes derniers desirs.

Mon vœu, nourry de vertu, est tellement Roy de mon ame, qu’il en sera Seigneur à jamais.

Mes vœux sont en commun avec les vostres.

Mes protestations et mes