Page:Marguerites françaises.djvu/560

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Vnion.

Nos esprits que le Ciel a unis, seront tousjours liez, comme nos volontez sont inseparables.

Nos ames sont unies avec une si ferme union, que la mort mesme ne les pourra des-unir.

Ils ont eternellement lié leur foy, en desliant, sans scrupule leurs esperances.

L’union de vos noms, semble veritablement representer celle de vos volontez.

Ils n’avoyent point deux esprits divisez, mais une seule