Page:Marguerites françaises.djvu/559

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Je vous prie d’avoir mes vœux pour aggreables, et les recognoistre plus entiers qu’imitables.

Mon amitié vous est si saintement vouee, que la felicité tirera son estre plus parfait, de l’affection inviolable que je vous porte.

Si vous desirez sçavoir de ma bouche, ce que mon cœur a voué à vostre amour, faites que le temps, et mes effets le disent pour moy.