Page:Marguerites françaises.djvu/75

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mes fidelles affections, lesquelles sont autant veritables que les devotieuses volontez de mon cœur les ont saintement vouees.

Je conserveray vostre belle et sainte amitié au sein de mon obeissance, avec tout le respect de mon devoir, et le service justement deu à vostre merite.

Il n’est point besoin de donner de nouvelles asseurances à vostre jugement de mes affections.

Je regrette mon malheur, et ne puis assez despiter la rigueur de ma fortune, qui