Page:Mariéton - Hellas, 1889.djvu/57

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Le plaisir de l’homme, hélas ! n’a qu’une heure
Pour cueillir la rose et goûter le jour.
Cette ivresse même, hélas ! n’est qu’un leurre
Comme l’illusion d’amour.

J’allais m’écrier : Que cette heure est belle !
Mais le cœur ne vit que de son désir…
Je n’y reviendrai, plus tard et loin d’elle,
Qu’à la lueur du souvenir !