Page:Marie-Victorin - Croquis laurentiens, 1920.djvu/127

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
121
LE PETIT LAURENT

royauté qu’exerce l’enfant au plus humble foyer que, sans plus penser aux pétaques et aux travaux pressants, tous et toutes, depuis la petite Alice jusqu’à la grand’mère, en passant par les grands garçons et la tante Victoire, tous et toutes dis-je, s’arrachaient le petit Laurent et l’étouffaient de baisers !