Page:Marie-Victorin - Récits laurentiens, 1919.djvu/80

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disiaques ajoutez le plaisir de la longue traversée du bois, l’imprévu des cerisiers, des talles de quatre-temps et de groseilles piquantes !


Un beau matin, nous partîmes en grand’charrette.

Quand on coupait les foins à la Rivière, tante Phonsine organisait royalement les choses. Les