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III. Élégies nationales et satires politiques, préf. mai 1827 : À Béranger ; — Prologue ; — la Victoire ; — le Nord ; — Fontainebleau ; — l’Île d’Elbe ; — Sainte-Hélène ; — Talma ; — Ode ; — la Gloire ; — Ode à l’étoile de la Légion d’honneur ; — Pensée de Byron, élégie ; — Prière de Socrate.

IV. M. Deutscourt ou le Cuisinier d’un grand homme, avi 1826 ; — Épître, à M. de Villèle. — Une répétition ; — À Béranger, ode ; — Le Peuple, 1830 ; — les Doctrinales, à V. Hugo, 16 oct. 1830 ; — Nos adieux à la Chambre de 1830, ou Allez-vous-en, vieux mandataires ; — En avant ! marche !Napoléon, décembre 1840 ; — Fragmens de Faust ; Prologue dans le Ciel ; l’Évocation ; Devant la porte de la ville ; Cabinet d’étude ; id. ; le Soir ; Chambre de Marguerite ; les Remparts ; Nuit de Sabbat ; Cachot ; Dernière scène.

V. Odelettes. Avril ; — Fantaisie, 1831 ; — la Grand’Mère, 1834 ; — la Cousine ; — Gaité ; — Politique ; — le Point noir, 1831 : — les Cydalises ; — Ni bonjour, ni bonsoir ; — la Sérénade, 1830 (Uhland).

VI. Vers d’Opéra : Espagne (Piquillo), 1837 ; Chant d’Amour (Piquillo), 1837 ; — Chant gothique des Monténégrins ; — Chant des femmes en Illyrie ; — Chant monténégrin ; — Chœur souterrain.

VII. Les Chimères : El Desdichado, 1853 ; — Myrtho, 1854 ; — Horus ; — Anteros ; — Delfica (Tivoli, 1843) ; — Artémis ; — le Christ aux Oliviers ; — Vers dorés, 1845 ; — La Tête armée, inédit.

VIII. Poésies diverses : Mélodie (imitée de Thomas Moore), 1828 ; — Stances élégiaques, 1828 ; — Lénore ; — Lénore, trad. littérale, janvier 1830 ; — Mélodie irlandaise (imitée de Thomas Moore), janvier 1831 ; — Laisse-moi, 1830 ; — les Papillons, 1830 ; — À Anne Boulen, romance, 1831 ; — Nobles et valets, 1831 ; — le Réveil en voiture, 1831 ; — le Relais, 1831 ; — Une allée du Luxembourg, 1831 ; — Notre-Dame de Paris, 1831 ; — Chant patriotique, 1833 ; — Dans les bois, 1834 ; — Lénore, 1835 : — Rêverie de Charles VI, fragment, 1842 ; — De Ramsgate à Anvers, 1846 ; — Une femme et l’Amour.

1875. La Peau qui tue (l’Événement, 30 novembre 1875). C’est un prétendu scénario de Gérard, encadré dans un article signé : Punch. Celui-ci explique que ce scénario, dans lequel il voit une première idée de l’œuvre d’Edmond About : le Nez d’un notaire, lui aurait été apporté par un ami de Gérard. Cette attribution ne peut donc être acceptée qu’avec réserve.

Poésie (sans titre): « J’étais bien jeune encor, quand la France abattue… » Vers de 16 ans, publ. par A. Houssaye ; l’Artiste, décembre 1875. Pages inédites de Gérard de Nerval.

1884. Vers à Madame Heine (le Temps, 21 mai 1884).

1888. Le prince des Sots, par Gérard de Nerval. Paris, Calmann-Lévy, édit., s. d. (1888). Préface de Louis Ulbach, in-12, xii-336 pp.

1897. Madame et souveraine (Poésie suivie de) Sonnet (Petite Revue Internationale, 30 mai 1897).

1911. Gérard de Nerval. Correspondance (1830-1855) avec une introduction et des notes par M. Jules Marsan. Paris, Mercure de France, 1911, in-12, 343 pp.