En avez-vous plus que dans le vôtre ?
Oh ! je vous assure.
Eh bien, l’homme, il n’y a qu’à y rester.
C’est ce que nous disions, car il est tout-à-fait bon et joyeux ; je l’aime, non pas comme j’aime ma ravissante Églé que j’adore, au lieu qu’à lui je n’y prends pas seulement garde ; il n’y a que sa compagnie que je cherche pour parler de vous, de votre bouche, de vos yeux, de vos mains, après qui je languissais.
Je vais donc prendre l’autre.
Oh ! doucement ; ce n’est pas ici votre blanche, c’est la mienne ; ces deux mains sont à moi, vous n’y avez rien.
Ah ! il n’y a pas de mal ; mais, à propos, allez-vous-en, Azor ; vous savez bien que l’absence est nécessaire ; il n’y a pas assez long-temps que la nôtre dure.
Comment ! il y a je ne sais combien d’heures que je ne vous ai vue.
Vous vous trompez ; il n’y a pas assez long-temps,