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rite-là ; ah ! ah ! Carise, voilà trop de qualités, il n’y a pas moyen de résister ; Mesrin, venez que je vous aime.
MESRIN.
Ah ! délicieuse main que je possède.
ÉGLÉ.
L’incomparable ami que je gagne !
MESROU.
Pourquoi quitter Adine ? Avez-vous à vous plaindre d’elle ?
MESRIN.
Non, c’est ce beau visage-là qui veut que je la laisse.
ÉGLÉ.
C’est qu’il a des yeux, voilà tout.
MESRIN.
Oh ! pour infidèle je le suis, mais je n’y saurais que faire.
ÉGLÉ.
Oui, je l’y contrains ; nous nous contraignons tous deux.
CARISE.
Azor et elle vont être au désespoir.
MESRIN.
Tant pis.
ÉGLÉ.
Quel remède ?
CARISE.
Si vous voulez, je sais le moyen de faire cesser leur affliction avec leur tendresse.
MESRIN.
Eh bien ! faites.