donc condamnées à rester là : nos relations seront curieuses !
Je ne vous dis pas de rester là ; voyons toujours ce côté, il est plus tranquille.
Quelle antipathie avez-vous pour l’autre ?
Quel dégoût vous prend-il pour celui-ci ?
C’est qu’il me réjouit moins la vue.
Et moi, c’est que je fuis le danger que je soupçonne ici.
Mais pour le fuir, il faut le voir.
Il n’est quelquefois plus temps de le fuir, quand on l’a vu.
Encore une fois, pour fuir, il faut un objet ; on ne fuit point sans avoir peur de quelque chose, et je ne vois rien qui m’épouvante.
Disons mieux ; vous avez des charmes, et vous voulez qu’on les voie.
Et parce que j’en ai, il faut que je les cache, il faut que l’obscurité soit mon partage ! Eh ! que ne m’a-t-on dit que c’était le plus grand malheur du monde que d’être