, l’arrêtant.
Y songez-vous ? Si elle sait que vous m’aimez, vous ne pourrez plus me le dire, je vous en avertis.
Cette réflexion m’arrête ; mais il est cruel de se voir soupçonné de joie, quand on n’a que du trouble.
, d’un air de dépit.
Oh fort cruel ! Vous avez raison de vous fâcher ! La vivacité qui vient de me prendre vous fait beaucoup de tort ! Il doit vous rester de violents chagrins !
, lui baisant la main.
Il ne me reste que des sentiments de tendresse qui ne finiront qu’avec ma vie.
Que voulez-vous que je fasse de ces sentiments-là ?
Que vous les honoriez d’un peu de retour.
Je ne veux point, car je n’oserais.
Je réponds de tout ; nous prendrons nos mesures, et je suis d’un rang…
Votre rang est d’être un homme aimable et vertueux, et c’est là le plus beau rang du monde ; mais je vous dis encore une fois que cela est résolu ; je ne