Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 6.djvu/483

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lit, et l’autre était étendu sur elle, tous deux (il faut que j’en convienne), tous deux d’une forme admirable.

Figurez-vous des yeux qui avaient une beauté particulière à être fermés.

Je n’ai rien vu de si touchant que ce visage-là, sur lequel cependant l’image de la mort était peinte ; mais c’en était une image qui attendrissait, et qui n’effrayait pas.

En voyant cette jeune personne, on eût plutôt dit : Elle ne