Page:Marivaux - Œuvres complètes, édition Duviquet, 1825, tome 7.djvu/84

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


FIN DE LA HUITIÈME PARTIE

    rateur. Marianne, abandonnée dans son couvent, a trouvé de prompts moyens de vengeance, et un consolateur dont la déclaration un peu brusque n’a du moins rien de fade et de languissant. La fîn de ce livre est égayée par le ton bizarre et 1es propositions cavalières de l’officier, à la fois insouciant et empressé , qui se contente de n’être accepté que comme pis-aller, et qui, remis à huit jours pour obtenir une réponse décisive, reçoit comme une faveur un ajournement que tout autre que lui aurait regardé comme une disgrâce.