on se porte bien, qu’on a bon appétit et de quoi vivre.
Vous ignorez le prix de ce que vous refusez.
C’est à cause de cela que je n’y perds rien.
Maison à la ville, maison à la campagne.
Ah ! que cela est beau ! il n’y a qu’une chose qui m’embarrasse ; qu’est-ce qui habitera ma maison de ville, quand je serai à ma maison de campagne ?
Parbleu ! vos valets.
Mes valets ? Qu’ai-je besoin de faire fortune pour ces canailles-là ? Je ne pourrai donc pas les habiter toutes à la fois ?
Non, que je pense ; vous ne serez pas en deux endroits en même temps.
Eh bien ! innocent que vous êtes, si je n’ai pas ce secret-là, il est inutile d’avoir deux maisons.
Quand il vous plaira, vous irez de l’une à l’autre.
À ce compte, je donnerai donc ma maîtresse pour avoir le plaisir de déménager souvent ?
Mais rien ne vous touche ; vous êtes bien étrange !