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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/284

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M’oste souvent par force le plaisir,
Dessus lequel s’assiet tout mon desir :
Et m’esbahy, que veu vostre amytié
N’avez souvent de nous plus grand pitié,
En nous voiant pour noz Princes, et Maistres
Aller, venir parmy ces Boys champaistres,
Puis s’arrester en Villages et Bourgs,
Dont le meilleur ne vault pas voz Faulxbourgs.
Et là Dieu sçait, si en maisons Bourgeoises
Sommes logez : ces grosses Villageoises