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Page:Marot - Les Œuvres, t. 3, éd. Guiffrey, 1881.djvu/94

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Encor je croy, si j’en envoioys plus,
Qu’il le prendroit : car ilz ont tant de glus
Dedans leurs mains ces faiseurs de pipée
Que toute chose, où touchent, est grippée.
Mais pour venir au poinct de ma sortie :
Tant doulcement j’ay chanté ma partie,
Que nous avons bien accordé ensemble :