On ne vous cache rien. Ce n’est pas tout ; il a parlé.
Il a parlé ?
Il parlera encore si vous le désirez, quoiqu’à présent cela soit moulto piou difficile.
Eh ! pourquoi ? Je vous en prie, faites-le parler.
Quelque chose qu’il dise, ça vous est indifférent ?
Sans doute. Qu’il parle seulement.
Et s’il chantait ?
Encore mieux !
Allons, chantez, le père il le demande.
Les amans trouvent dans leurs soins
Plus d’un bien, plus d’un avantage ;
Infortunés, ils le sont moins,
Heureux, ils le sont davantage.
Il faut, il faut donner son cœur :
Vous qui voulez garder le vôtre,
Songez qu’on me fait son bonheur
Qu’en faisant le bonheur d’un autre.
C’est vrai, il parle, il chante, je le dirai partout.
C’est assez, Il est inutile… il ne faut pas le fatiguer.