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qu’avaient rêvé Dupleix et la Compagnie ; il y avait des habitudes prises qu’il était impossible de modifier. Ajoutons que, malgré notre occupation, les Anglais et les Hollandais restaient maîtres de continuer leur commerce, mais c’était une liberté plutôt théorique ; en fait ils avaient été obligés d’évacuer Narzapour et de transporter leurs opérations à Bandermoulanka, à l’embouchure du Godavery. Nous étions en réalité les seuls maîtres dans tout le pays.