Page:Martineau - Dupleix et l’Inde française, tome 4.djvu/456

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comme pour la sincérité des comptes de rétablir de la façon suivante l’état fourni par Dupleix :

952.732 liv. dues à Bussy,
542.285 » dues à Cassidas Bouvongy,
366.129 » dues à Castanier,
257.736 » pour divers articles pris au magasin général,
233.107 » dues à la succession Vincent,
185.083 » sur ses fonds endépôt du vaisseau le Shellah,
153.600 » dues à Mirgoulam,
141.600 » dues à Ribec
138.139 » dues à Aymard
133.399 » dues à d’Auteuil,
110.820 » dues à Ranpaga,
108.741 » dues aux Capucins,
97.000 » dues à la Caisse des religieuses,
77.637 » dues aux gens du tancassal et aux anciens marchands,
72.467 » dues aux Jésuites,
72.000 » dues à Aumont,
62.148 » dues à Delarche,
55.215 » dues à Vinaïguem, arombaté,
50.253 » dues à la succession Vincent,
24.000 » dues à Aubert de la Mogère,
22.653 » dues à Cornet,
21.080 » dues à Berthelin,
17.000 » dues à du Bausset,
14.400 » dues à Nouale,
12.746 » dues à Brignon,
9.600 » dues à Albert, etc.

Comme suite à la conversation de Godeheu et d’Arnaud, Dupleix se décida à donner les billets qu’on lui demandait ; ils portaient que c’était par son ordre que Papiapoullé avait emprunté telle ou telle somme pour faire la guerre et que c’était à la Compagnie en France à en