Page:Mary Summer - Histoire du Bouddha Sakya-Mouni, 1874.djvu/193

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Mâyâ, composaient la décoration du temple. Aussitôt le travail terminé, les grilles et les portes, qui donnaient accès dans la chapelle souterraine, furent closes avec des barres de fer. Sur la dernière porte, au haut de l’escalier, on fixa un énorme rubis qui portait cette inscription : « Que celui qui trouvera ce rubis le présente aux reliques. » C’était le « Sésame, ouvre-toi ! »

Le temps vint en aide aux hommes : les lianes et les broussailles recouvrirent ce sanctuaire qu’on voulait cacher à tous les regards. Plus d’un Bouddhiste s’agenouilla près du temple, sans soupçonner le grand secret renfermé sous ces pierres verdies. Un miracle seul devait amener le roi Asôka devant ce rubis mystérieux, confié par Kâcyapa aux hasards de l’avenir.



FIN.