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du kalabingka[1], au visage pareil à la lune sans tache, aux yeux de lotus, aux beaux sourcils, aux dents blanches comme la gelée matinale, qui sait si une déesse des bois ne va pas devenir ta compagne ? Adieu ma plus belle saison embaumée des plus belles fleurs ! Ah ! maudite soit la séparation de ceux qui s’aiment ! »
L’attendrissement succède à la colère ; vaincue par les larmes, Gôpâ se calme et s’endort. En Asie et en Europe, le désespoir, chez les femmes, finit toujours de même.
- ↑ Espèce de moineau.