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la pointe-à-carcy, etc.

Eh bien ! quoi ? N’est-ce pas la Fornarine, la maîtresse de Raphaël, qui posait, nue, pour les Vierges du maître !

          

L’oisiveté est la mère de tout Lévis.

          

Pour grimper amont les hauteurs où il se complaît comme poisson dans l’eau, le Kébécois n’a que l’embarras du choix des moyens : les côtes, les escaliers, l’échelle… sociale.

          

Est-ce parce qu’il s’accompagne ordinairement d’une canne qu’on dit du Kébécois : il fait son jars !

          

J’adjure la bonne presse de ne pas suspecter mon orthodoxie. « Le ciel n’est pas plus pur que le fond de mon cœur. » S’il m’arrive de dire que le Kébécois est de la chair à canons, il ne s’agit pas de canons ecclésiastiques.