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Page:Massenet - Mes souvenirs, 1912.djvu/191

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MES SOUVENIRS
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un capucin. Il regarde la porte de la taverne. Il hésite ; puis, enfin se décide à en franchir le seuil, dont il referme la porte. Musique à l’orchestre si l’on veut. Tout à coup, on voit ressortir « le capucin… enchanté… enchanté certainement de la cuisine ! »

Le titre de l’ouvrage vous est donc expliqué ; il ne s’agit nullement de l’enchantement féerique d’un pauvre capucin ! ! !