Aller au contenu

Page:Massenet - Mes souvenirs, 1912.djvu/220

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
212
MES SOUVENIRS

parce qu’elle me rapprochait de mon directeur que j’aimais tant.

Enfin libre et débarrassé à tout jamais de mes chaînes, je partis dans les premiers jours de l’été, avec ma femme, pour les montagnes de l’Auvergne.