L’entrevue avec Bailly eut lieu chez mesdames d’Arquelay, dont Saint-Martin parle assez fréquemment.
Corberon. Saint-Martin logea plusieurs fois chez les Corberon, rue Barbette.
Clémentine, dont il parle volontiers sans la faire connaître, est morte jeune, mais très-avancée en piété, très-bon juge en matière d’ouvrages sérieux.
Relud. Est-ce Ludre ? Le nom revient souvent dans le Portrait. C’est celui d’une personne à laquelle Saint-Martin avait eu l’idée d’unir son sort. Il fait allusion à ce projet dans un style très-figuré.
« Elle (l’École normale) ne devait pas vivre. » Saint-Martin nous apprend que la bataille Garat avait été son coup de grâce.
Champlâtreux. C’est de Champlâtreux près Corbeil, la résidence de madame de Clermont-Tonnerre, qu’il s’agit. Saint-Martin parle de trois voyages différents qu’il y a faits. (Portr., 742, 759 et 803.)
« Il y (Paris) resta toute l’année 1797. » Des projets de mariage le préoccupaient, à Amboise, aux mois d’août et de septembre.
« Quelques connaissances qui ne dédommageaient pas, » etc. Il eut quelques relations avec madame la comtesse d’Albany. Le manuscrit porte d’Abany.
Il avait revu, en 1801, madame de Lusignan à son retour de l’émigration. Leur entrevue avait été comme officielle, dit Saint-Martin. On se retrouva peu, malgré l’affection qu’on se portait encore, et dont le théosophe rappelle la vivacité en ces touchantes paroles : « Le tableau de ses peines me déchira l’âme. » Saint-Martin éprouva les mêmes sentiments en revoyant madame de Montbarey après douze ans de sépa-