Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/111

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ACTE IV.

SCENE I.

Une nuit obscure. Les murs du château.


Bertram s’avance extrêmement agité. Il étend les bras pour pénétrer dans un taillis ; au même moment un nuage passe et cache la lumière de la lune.


Bertram.

Tu te dérobes à ma vue, et ne veux pas me voir. Tous les feux du Ciel se sont voilés. Dans cette nuit profonde, il ne se trouve rien, sous la voûte obscure du firmament, d’aussi ténébreux que mon cœur ; ma gloire infernale même m’a quitté ! Bertram n’a rien au-