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habitans ? Quel regard oses-tu jeter dans cet affreux empire des fantômes ?
Bertram.
Je n’ai rien observé des choses dont tu me parles.
Ier. Religieux
Malheureux ! si la crainte ne te figuroit pas quelques images sinistres de ta destinée !….
Bertram se remettant de sa rêverie.
Cessez, insensés que vous êtes ! Voudriez-vous que moi, je sentisse des remords ? Laissez-moi seul. Ni cellule, ni chaînes, ni donjon ne parlent au meurtrier comme la voix de la solitude.
Ier. Religieux
Tu dis la vérité ; et, par une pitié cruelle, nous te laisserons seul.
(Ils sortent).