Page:Maturin - Bertram, trad. Taylor et Nodier, 1821.djvu/80

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Imogène, à genoux.

Miséricorde !….

Bertram.

Tu n’es pas son épouse, ou tu parlerois ! (avec une violence frénétique) parle…. parle….

Imogène.

Je suis l’épouse d’Aldobrand ; je lui ai donné ma main, pour sauver un père mourant de besoin.

Bertram.

Je ne veux pas la maudire…. mais la vengeance s’amasse !…

Imogène.

Oui, maudis et consomme l’horrible fatalité de ma vie, car je l’épousois accablée de désespoir et d’affreux présages ; quelque esprit malfaisant abusa le saint prêtre par un