Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 2.djvu/253

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rement la vérité dans un couvent : aussi quand elle y parle, sa voix y paraît-elle doublement terrible et prophétique. Du reste je n’entendis pas cette nuit les voix effrayantes qui troublaient mon sommeil. Je dormis profondément et tout le couvent fut délivré des terreurs qu’infligeait l’esprit infernal.


fin du second volume.