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— « Pourquoi parlez-vous avec tant d’apathie. L’odeur de ces fleurs et les consolations du supérieur vous sont-elles également indifférentes ? »
— « Je le crois. »
— « Pourquoi ? »
— « Parce qu’il faut que je sois un moine. »
— « Ne prononcerez-vous donc jamais autre chose, mon frère, que cette phrase qui ressemble aux discours d’un esprit en délire ? »
— « Imaginez-vous donc que je suis égaré, stupide… tout ce qu’il vous plaira… car vous savez qu’il faut que je sois un moine. »
À compter de cette soirée, je fus moins libre : on ne me permit plus de