Page:Maturin - Melmoth, Hubert, 1821, tome 3.djvu/273

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mèrent plus qu’un groupe réuni par l’effroi.

L’instant d’après, les flammes étant momentanément étouffées par une si vaste masse de pierres, il s’en éleva une épaisse nuée de fumée et de poussière qui permettait à peine de distinguer les traits de la personne placée à vos côtés. La confusion fut augmentée par le contraste de cette obscurité soudaine avec l’éclat de la lumière qui nous avait comme aveuglés pendant près d’une heure, ainsi que par les cris des malheureux blessés ou estropiés par la chute de la voûte. Au milieu de ces cris, de ces ténèbres et de ces flammes, je vis devant moi un espace libre. La pensée et le mouvement furent simul-