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MELMOTH,
OU
L’HOMME ERRANT.


CHAPITRE XVIII.



Je courus jusqu’à ce que j’eusse perdu mon haleine et mes forces, sans remarquer que j’étais dans un passage obscur. Je fus à la fin arrêté par une porte, contre laquelle je tombai. Elle s’ouvrit, et je me trouvai dans une chambre basse et obscure. En me relevant, car j’étais tombé sur mes mains et mes genoux, je regardai autour de