Page:Maupassant - La Main gauche, Ollendorff, 1899.djvu/103

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chain, monsieur César. Comme ça je ne perdrais pas de temps. J’ai toujours mes jeudis libres.

— Ça me va, jeudi prochain.

— Vous viendrez déjeuner, n’est-ce pas ?

— Oh ! quant à ça, je ne peux pas le promettre.

— C’est qu’on cause mieux en mangeant. On a plus de temps aussi.

— Eh bien, soit. Midi alors.

Et il s’en alla après avoir encore embrassé le petit Émile, et serré la main de Mlle Donet.