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qui ne doit mourir qu’à son jour, à son heure, à sa minute, parce qu’il a touché la limite de son existence !
Non… non… sans aucun doute, sans aucun doute… il n’est pas mort… Alors… alors… il va donc falloir que je me tue, moi !…
Nous prions le lecteur de bien vouloir se reporter à l’Appendice, où il trouvera la version première du Horla.