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chez un ami

genteuil, Patissot comprit pourquoi Mme Boivin ne servait que de l’abondance à son mari : le petit bonhomme perdait la tête ; il pérorait, se leva, voulut faire des tours de force, se mêla, en pacificateur, à la querelle de deux ivrognes qui se battaient ; et il aurait été assommé avec Patissot sans l’intervention du patron. Au café, il était ivre à ne pouvoir marcher, malgré les efforts de son ami pour l’empêcher de boire ; et,