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Page:Maupertuis - Lettre sur le progrès des sciences, 1752.djvu/33

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du plus grand froid dans l’hémiſphère oppoſé, qu’il faut entreprendre d’approcher des terres voiſines des poles. Dans ces climats, dès que les glaces commencent une fois à fondre, elles fondent très-vîte ; & en peu de jours la mer en eſt délivrée. Si donc, au lieu d’arriver au tems du ſolſtice aux latitudes où M. Lozier cherchoit ces terres, il fût arrivé un mois plus tard, il y a toute apparence qu’il n’eût trouvé aucune glace.

Au reſte, les glaces ne ſont