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Page:Maurras - Kiel et Tanger - 1914.djvu/15

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après trois ans

Les nouveaux appendices de cette nouvelle édition[1] recueillent l’essentiel des « défenses » de Kiel et Tanger telles que je les ai exposées au journal de l’Action française huit ou dix mois avant que les choses mêmes ne m’eussent apporté leur triste surcroît d’évidence. Le lecteur jugera si j’ai raison de dire que les premières contradictions théoriques étaient un peu frivoles.

Ces nuées ayant achevé de s’évanouir à la lumière des réalités survenues, il importe de se rappeler nos épreuves dans leur ordre de succession.

Comptons :

  1. Pour la « critique et la défense de Kiel et Tanger », voir les Appendices XIII (Hanotaux), XIV (Henry Maret), XV (Marcel Sembat), XVI (Flourens), XVII (les Marches de l’Est), XVIII (André Tardieu).

    On me permettra de remercier ici le grand nombre des écrivains patriotes qui ont fait accueil à ces études. Il convient de citer à leur tête notre maître Drumont, George Malet, Étienne Charles, Angot des Rotours, Léon Philouze, Charles Dupuis, Rubat du Mérac, Alcide Ebray, Alphonse Massé, Hubert Bailly. — Il serait impossible d’énumérer tous mes chers amis et compagnons d’armes de l’Action française qui dans leur journal, leur revue, les feuilles amies, puis au cours d’innombrables conférences, ont su faire aux idées de ce livre un sort magnifique.