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PRÉFACE




Pour ce nouveau-né qui continue si gentiment l’attrayante lignée de ses prédécesseurs, on requiert une « introduction » ou une « préface ». Est-ce bien nécessaire ? — Présenter Maxine au public c’est proprement porter de l’eau à la rivière ; témoin le bon renom de ses œuvres et l’accueil empressé de la jeune clientèle à qui la meilleure part y est faite.

— Une préface, alors ?

— Eh bien, va pour la préface !

D’autant que l’aubaine est pour le signataire d’icelle : il se profile dans le sillage lumineux de l’auteur et bénéficie d’un reflet de sa notoriété.

D’avoir éveillé chez Maxine un beau talent de conteur qui sommeillait, me vaut, paraît-il, ce privilège (?) de préfacier, lequel, du reste, ne comporte guère de risques : Qui donc lit les préfaces ?

Mais voici qui n’est au vrai que la préface d’une préface. Venons-en au point.

« La cache aux canots » est, je crois, le neuvième d’une série de récits pour enfants, dont le premier : « Les fées de la terre canadienne »