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se releva avec l’agilité d’une biche
et disparut.
Je restai interdit, abattu ; je voulus la suivre, je ne pus point, les Odalisques vinrent se promener auprès des palmiers, et m’obligèrent à cacher le trouble qui s’était emparé de mon cœur, mon bonheur ne dura qu’un moment.
Je revins chez moi, triste mais soulagé, et content d’avoir décelé un secret dont le poids m’était devenu insupportable. Je cherchai dès lors toutes les occasions de trouver Zeni seule. Mais par une fatalité singulière, Zesbet et les Odalisques semblaient conspirer contre moi ; à peine allais-je ouvrir la bouche qu’on venait m’interrompre ; et Zeni, comme si elle eût voulu me désespérer, s’échappait à l’instant.
Je devins sombre, rêveur et mé-