Page:Maynard - Œuvres poétiques, t. 2, éd. Garrisson, 1887.djvu/49

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Depuis cest heureux accident
Leur amour n’eut d’astre ascendant
Que la félicité parfaicte ;
Car il n’y avoit de plaisirs
Que pour contenter leurs désirs,
Enfants de leur flame secrette.