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CHAPITRE XV.
Apologie des Mœurs du Siècle.
Of all the ills that may attend me
From marriage, mighty gods, defend me !
Après avoir tâché vainement de
rappeller à son tour dans l’ame de Séligni
la confiance et la sérénité dont
elle recommençait à jouir, grace à son
heureux naturel, et que, cependant
elle croyait ne devoir qu’aux soins
assidus de l’amour le plus tendre, elle
voulut s’assurer enfin du véritable
motif d’une réserve si bizarre et si
mystérieuse. Sans se laisser décourager
par quelques tentatives inutiles,
elle parvint bientôt à se ménager avec
lui l’explication que nous allons rapporter à nos lecteur avec une infidélité